Nous recevons sans cesse des sollicitations "d'hommes d'église", pour ne pas dire d'hommes de Dieu qui réclament de l'argent pour assurer la continuité de leur ministère.
Bien sûr il y a beaucoup d'africains (qui ont trouvé par le moyen d'internet de "s'en mettre plein les poches ) mais aussi un peu partout et vous verrez que la quasi totalité des sites dits "chrétiens" font à un moment ou un autre un appel de fonds.
Fric
NOTE: "Il m'a semblé bon de vous avertir devant les dangers de ce phénomène de plus en plus courant: acheter la présence de Dieu. Le lecteur avertit de la Bible comprend que la présence de Dieu est gratuite, offerte à celui qui s'humilie, se met en règle et se confie dans l'oeuvre expiatrice de Jésus-Christ. De plus en plus, une certaine catégorie de personne court après "la bénédiction", comme si celle-ci s'échappait ou était difficile à obtenir, comme si encore il manquait à notre "paquetage chrétien" le gadget dernier-cri de notre panoplie de "James-Bond spirituel".
Période de Noël, réservez vos achats aux marchands du temple.
En exclusivité, un article à paraître dans quelques heures sur http://www.disciples-du-Christ.org, qui raconte comment on ne vend plus de médailles (comme à Lourdes), mais la Parole de Dieu.
Excellent !
Verrais-tu d'un mauvais oeil que je sois bon?" (Matthieu 20;15)
Qu'est-ce que le copyright? Quels en sont les buts? Un chrétien peut-il placer ses oeuvres sous ce verrou? Qu'y gagne-t-il alors ou qu'y perd l'oeuvre que Dieu lui a inspirée? Ceux qui s'adonnent à cette pratique mondaine, ont-ils fait naufrage quant à la foi, en ayant renié ce qui en fait la force? Le fait que Dieu les utilise signifie-t-il qu'Il les approuve? J'ai été grandement étonné cette semaine, après avoir été interpellé par une personne qui me demandait "quelle était cette doctrine du refus du copyright" et "sur quels versets elle s'appuyait". Voici donc une étude biblique sur la question: laissons à la Bible le dernier mot, et rendons à Dieu toute la gloire et la direction de ce qu'Il nous confie.
En 2010, on estime que 30% des paroisses anglicanes et près de la moitié des anglicans pratiquants des Iles britanniques se reconnaîtront dans la tendance évangélique. Telle est l'une des informations fournies par Rachel Cooke, journaliste non pratiquante, mais qui est allée sur le terrain pour s'intéresser à l'évolution de l'Eglise d'Angleterre dans un long article publié par l'Observer (21 décembre 2003). Elle a découvert de grands contrastes.